[Critique] Raiponce : la critique du dernier Disney

Publié le 1 Décembre 2010

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Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle et téméraire jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long, gardée prisonnière par Mère Gothel. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et d'émotion, au cours de laquelle l’improbable duo va rencontrer un cheval super-flic, un caméléon à l’instinct de protection surdéveloppé, et une drôle de bande de malfaiteurs.

 

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Si d'habitude les Disney de Noël étaient décalées au début de l'année suivante (cf Volt, star malgré lui en 2008 et La Princesse et la Grenouille en 2009 sortis en France plusieurs mois après la sortie amércaine), c'est bien au mois de décembre que nous allons pouvoir découvrir Raiponce. Adaptée du célèbre conte des frères Grimm, cette histoire de conte de fée sera la dernière des studios Disney comme l'a annoncé récemment John Lasseter et, Ed Catmull annulant ainsi l'espoir de voir La reine des neiges et Jack et le haricot magique qui étaient alors encore a l'état de projet. C'est donc avec une certaine nostalgie que l'on regarde Raiponce, dernier film d'une époque.

 

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On retrouve tous les éléments d'un conte de fées traditionnel avec une belle princesse (Raiponce), son sauveur (Flynn Rider), un magnifique cheval blanc (Maximus) et une méchante diabolique (Mère Gothel) mais ils prennent une touche de modernité qui apporte un brin de fraîcheur a l'ensemble.

 

La princesse devient ainsi une jeune femme, aux cheveux magiques, ne rêvant que de grands espaces et d'aventures, qui souhaite avant tout partir a la découverte du monde. Son sauveur est un brigand au charme ravageur qui ne supporte pas de voir son beau visage déformé. Le cheval blanc est en réalité un policier déterminé qui ne lâche jamais ses recherches tant qu'il n'a pas capturé sa proie. Quand a Mère Gothel, elle est représentée comme une mère manipulatrice et déterminée obsédée par la beauté et qui se sert de Raiponce comme d'une fontaine de jouvence.

 

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On retrouve également une touche d'humour avec Pascal, un caméléon charismatique qui accompagne Raiponce dans toutes ses aventures, et les brigands de la taverne, qui décident suite à leur rencontre avec la princesse de réaliser leurs rêves aussi farfelus qu'ils soient.

 

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Des scènes d'action épiques, un humour omniprésent, des références aux classiques Disney, des chansons entraînantes (avec la voix magnifique de Maéva Méline), de la magie. "Raiponce" est au final un trépidant divertissement qui plaira autant aux petits qu'aux grands.

 

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Rédigé par Geotoine

Publié dans #Critiques

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