Cougar Club : la critique et le test du DVD
Publié le 15 Janvier 2011
Pour Spence et Hogan, jeunes diplômés de l'Université, la vie est plutôt morose. Ils travaillent tous deux dans un cabinet d'avocats à l'ambiance délétère. Spence a une petite amie caractérielle et Hogan aimerait bien trouver une fiancée. Par hasard, une opportunité les amène à ouvrir un club de rencontres, le «Cougar Club» où ils croisent de nombreuses femmes expérimentées...
Le film
Deux jeunes diplomés créent un "cougar club" qui a pour but de réunir des jeunes hommes et des femmes mûres. Comme on pouvait si attendre, l'histoire est très simple. Elle sert essentiellement de prétexte à une succession de séquences à sous-entendus sexuels avec un humour souvent lourd.
La vraie surprise est du côté de la distribution puisque l'on reconnaît plusieurs visages connus au casting de cette petite production. En premier lieu, Kaley Cuoco. La voisine de palier de Leonard et Sheldon dans la série "The Big Bang Theory" tient ici le rôle de Amanda, la petite-amie de l'un des deux personnages principaux. Autre acteur à la télévision, Joe Mantegna ("Esprits Criminels") est l'un des trois patrons du cabinet d'avocat. Enfin, Carrie Fisher ("Star Wars") apparaît furtivement en professeur cougar, très proche de ses élèves.
Sortant directement en DVD et Blu-Ray en France, "Cougar Club" se rapproche d'un téléfilm et n'est au final rien de plus qu'une comédie divertissante plutôt bas de gamme mais qui peut faire sourire en de rares occasions.
Le DVD
A l'ouverture du DVD, on nous laisse le choix entre le menu classique et le menu topless, ce dernier étant d'ailleurs annoncé sur la jaquette. Pas de grande différence entre les deux menus mis à part le fait que la photo de fond du second soit plus chaude (topless donc). L'image est au format 16/9 [1.78]. Pour l'audio, l'éditeur propose une piste française (Dolby Digital 2.0) et deux pistes anglaises (DTS 2.0 et Dolby Digital 2.0). On notera enfin l'absence totale de bonus.
Cougar Club : Actuellement disponible en DVD.
Un grand merci à Emylia m'a permis de réaliser cette critique.
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