Astérix aux Jeux Olympiques : moyen

Le gaulois Alafolix est tombé amoureux de la princesse de Grèce. Le problème est que celle-ci est éalement convoitée par Brutus, fils de César. Elle décide d'offrir sa main au vainqueur des Jeux Olympiques.

Un scénario de film d'amour à l'américaine. Seulement que là, il s'agit d'un film adapté d'Astérix. Le petit gaulois et Obélix se retrouve relégués au second plan tandis que les autres personnages font leur numéro souvent grotesques (le Besoin de rien envie de toi de Poelvoorde est vraiment minable). On ajoute une touche d'Iznogoud (Brutus qui veut assassiner son père), parties qui ne servent qu'à combler les vides du très mince scénarios. Et la scène de fin est à la limite du ridicule lors Jamel cherche à récuperer sa balle. On est très loin du génial Mission Cléopâtre de Chabat.

Un film long et lent qui arrache quelques fois un sourire avec beaucoup de peine.

Note finale : 5/10 Un mauvais scénario + un casting trop people = un film très moyen.